Nymphomane

Au bout d’un moment je suis remontée vers son visage et j’ai enfin pu capter son regard, j’y ai vu tout le plaisir que je lui donnais et tout le désir qu’il avait de me baiser comme une petite salope que j’étais. Mes yeux sont restés quelques secondes dans les siens, puis j’ai ouvert la bouche et je lui ai roulé une pelle avec fougue, bien baveuse, comme j’aime. Ma bouche contre la sienne, ma langue l’a envahie, s’est enroulée autour de la sienne, a fouillé sa bouche toute entière, j’avais presque la sensation de le baiser comme une bite pénètre un vagin de femme. Alors il a pris ma tête dans sa main et il l’a maintenue contre son visage, sa bouche était prisonnière de la mienne, plus je la fouillais, plus je sentais sa respiration s’accélérer et les battements de son cœur battre à tout rompre, je l’excitais, je l’amenais au bord du plaisir, j’accentuais ma branlette pour que son point sensible diffuse le plaisir dans tout son corps en espérant qu’il ne vienne pas tout de suite.

- Je t’excite hein mon Paul ? Je sens que ta queue, est de plus en plus dure. J’en avais jamais vu une aussi bonne, j’ai envie que tu me baises et que tu me fasses jouir avec.

Il n’a pas su quoi répondre, j’imagine qu’il aurait aimé me traiter comme une petite pute mais que le fait que je sois sa belle-fille devait le retenir d’être trop cash avec moi et peut être le culpabilisait aussi un peu par rapport à ma mère.